Mysticisme, 3ème partie - attraction, utilité et développement.
Le postulat premier est celui des romantiques : notre corps est une prison. On ne peut s’en échapper, et il limite notre esprit et notre liberté.
C’est là qu’intervient le mysticisme ; pour dépasser les limites, il faut recourir à la puissance de l’esprit, qui, lui, arrive à s’extirper du corps afin de transcender les limites corporelles imposées.
On peut penser à des phénomènes du type projection astrale, rêves lucides.
L’idée qui me séduit le plus, comme je le disais, est celle du ressenti et de la maîtrise des énergies nous entourant. Qui suis-je vraiment ? Mon aura le sait.
Peut-être une sorte de mage, parvenant à émettre des flux d’énergies à travers les mains ?
Ou alors est-ce que je possède une sorte d’arme éthérée ?
Dans l’immédiat, ma méthode préférée reste d’utiliser le média jeu vidéo pour avoir un contrôle sur mon corps second selon ce que mon esprit décide… Quand le jeu est assez bien confectionné pour permettre ce genre d’utilisation.
Le mysticisme est donc la réponse au souci romantique de l’homme et son corps, raison pour laquelle je m’y intéresse tant.
Mais le cerveau, lui même n’est-il pas une partie de l’ennemi limitateur ?
À force de penser, à force de se restreindre à être rationnel et réfléchi, on s’empêche de ressentir, d’appréhender le monde extérieur avec notre intuition. Le cerveau veut qu’on soit toujours actif, en mouvement, utile à soi ou aux autres… Mais le mysticisme, lui, nécessite sûrement de laisser le cerveau se reposer et l’intuition de faire son travail afin de ressentir le monde extérieur et ses possibilités inconnues de manière secondaire.
À réfléchir… Ou à comprendre intuitivement ?